Des ruelles de l’oubli
Une odeur de bois mort
Vide le ciel assombrit
Aucun bateau dans le port
Du bord des rives
L’éclat du désastre
Plus de lumière vive
La splendeur de l’astre
Envoutant l’atmosphère
Dévoué à cette terre
Au silence éphémère
Des larmes de pierre
Au loin ce doux bruit
Le murmure des voilures
Revenant de la nuit
Obscure au parfum pur.
MioModus.
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A propos MioModus
Je m’exprime par une écriture épurée avec des mots qui frappent au cœur du temps, au cœur de tout. Je vis à Paris dans un quartier familial et j’ai la chance de pouvoir m’éloigner de la capitale de temps en temps pour me ressourcer en Picardie qui est devenue une terre d’accueil. Mes mots peuvent ainsi sortir des lignes du temps et me sont soufflés par les arbres et par la beauté de la nature. La poésie me rapproche de l’essentiel : les rives de l’âme !
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Dans la nuit la plus sombre, il y a toujours quelque part, une lumière pour nous rassurer.
De bien beaux mots qui ont fait voguer mon imagination au murmure des voilures.
Merci pour ce moment de lecture en vagues douces
Agréable week-end MioModus.
La lumière est en chacun comme le ciel au petit matin.
Bon week-end à toi Laudith.
Bonjour Mio ,
Il est doux ce voyage chez toi même si la voilure est lontaine sur la mer et
l’astre disparu depuis longtemps dans le ciel . Un clapotis cognera comme le
coeur contre les rochers , il sera intense et régulier .J’aime ce regard sur un
rayon noir du port .
j’ai lu tes poèsies comme on boit du thé à petites gorgées ,en se délectant
un univers qui me baigne , une brume qui m’enveloppe, serais-ce une banalité
de te dire : j’aime ….
Bien à toi .
Merci d’aimer, de le dire.
Poème qui sent l’iode
Poésie qui a une odeur, poésie vivante et tout m’enchante.