L’horizon fait couler l’encre
Se balader pour rêver
Respirer pour poser sur le papier
Les petits cailloux éparpillés
Tout cela me manque
Infiniment – au cœur du temps
Me reste ce vieux mur blanc
Où se projette quelque fois des images
Ne faut pas trop de nuages
Pour espérer apercevoir un bout de mer
Quant à voguer sur un voilier
Ce sera dans une autre éternité
Attendre le chant de la sirène
Sifflant la fin de cet emprisonnement
Pour siroter doucement nos libertés
Et surtout ne pas refaire les erreurs du passé.
MioModus.
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Sur l’autre rive
L’écriture permet de s’évader, alors profitons en .. il n’y a pas de murs sur la feuille blanche , juste des mots qui cherchent le chemin de l’espoir..