Savoir regarder, ce n’est pas inné
L’œil doit être exercé
Marcher sans chavirer
Vaut mieux ne pas exister
Un signe au creux de toi
Vais-je pouvoir m’approcher ?
Avec cette envie de m’accrocher ?
Fatigué des routes linéaires
Ma planète est torturée, cabossée
Du côté sauvage je vais marcher
Le feu des rives pour avancer
L’eau vive pour me protéger
L’horizon pour seul chemin
Ma vie s’habille de ton parfum
De quelques volutes du destin
De rêves de liberté sur nos matins
MioModus.
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Sur l’autre rive
l’horizon est triste désespérant et nous ne connaissons pas encore où nous allons l’espoir demeure ne restons pas dans le noir ton poème m’abreuve d’un horizon nouveau où tout sera beau.
merci pour ce poème qui montre le chemin d’autres lendemains.
Le ciel est bleu, l’espoir est à même nos mains…
l’espoir ce mot consolateur qui fait vibrer le coeur
Au loin, sur la ligne d’horizon, l’aube apportera cette lumière que nous avons dans les mots..
C’est certain ! Et l’odeur des embruns !