Sillon de lune
Accroche du temps
Étreinte du rêve
Réveil dans la douleur
Mon corps éclate en mille morceaux
Partout dans l’atmosphère
Des bouts de moi
Je vous retrouve tous
Mes amours du passé
Est-ce le paradis ?
Je ne crois pas, je ne vois pas l’étrange lumière…
Mais c’est ici que je finis
Début de vie
Musique funèbre
Complainte des souvenirs
Nuits de joie
Loin les soirs de peine
Ma cage thoracique se remplit d’air
A toutes mes extrémités de la gaieté
Loin des villes et des atrocités
La femme aux douze visages se dresse devant moi
M’ouvre les bras comme on s’aime
Je suis sur l’île de la vie
Et c’est ici que je définis mes envies
Retrouver les voiles de la sérénité, le sens de soi
Et surtout danser en écoutant les Doors et David Bowie.
Jouer de la guitare et trouver quelques accords
Enfermé et continué à rêver au jour d’après, à tous ces jours à respirer…
Printemps entamé, confisqué, mais aucune interdiction de penser !
A la façon de redémarrer pour ne plus être l’otage d’un monde insensé.
MioModus.

tres beau poème merci.!
Mettez l’espoir pour ne pas rester dans le noir avec juste un rayon de soleil qui pourrait devenir alors arc en ciel:)
L’espoir est l’oxygène du poète…
oui, l’espoir demeure cette bougie qui ne s’éteint jamais