Une fois la dune atteinte
Place au langage des vagues
J’ai vu au loin ce marin
Aiguisé l’ombre de ses racines
Un corps épuisé de vivre
Au sel d’une pensée oubliée
Le ressac pour métronome
Sur la terre il vacille
Cet homme est la mer
Une bouée pour les égarés
Tels un phare, un guide
Jusqu’à ne plus avoir de forces
Il s’efforce d’être le signe
Le pas qui éclaircit l’horizon
Un passage au milieu des courants
Un ange sublimant l’océan
MioModus.
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Sur l’autre rive
J’aime beaucoup!
Votre plume est un phare !
VRAI Sedna une véritable lumière si forte que j’en suis éblouie:)
Les compliments pleuvent ! Gros temps sur mes mots en cette sublime après-midi de printemps !
Merci.
c’est vrai sinon je ne le dirais pas!!!compliments mérités…
Merci infiniment