Des hauts de la plaine des lunes j’ai vu une cité merveilleuse avec des elfes enchantés mais à trop m’approcher, ils ont fini par s’éloigner
A qui vais-je dont pouvoir confier le secret des banquises ?
Comment cette terre abîmée par les coups répétés va-t-elle pouvoir se régénérer à présent ?
Homme cesse de vouloir tout posséder
Retrouve les chemins de la liberté
La beauté éphémère du coquelicot
Le chant si beau du chardonneret
A mal vivre on finit par ne plus espérer, on définit les limites de notre sentier, on pourrait y construire une porte et en jeter la clé !
Ainsi deviendrait-on les lutteurs infinis d’une vie rêvée où l’on n’aurait de cesse que de faire pousser des champs d’éternité !
Homme crois en ton île !
En l’alchimie de ton être et de tes pensées !
Tu deviens bien malgré toi un prisonnier
Regarde, bientôt tu auras du mal à marcher…
Rester vivant, debout c’est notre essence, les racines de notre évolution. Alors rapprochons nous de la terre. Pour cela inutile de trop la creuser, on risquerait encore de la percer…
S’allonger, déjeuner ou dormir sur l’herbe – se réveiller et se dire que l’on n’a pas rêvé, que nos pas nous ont bien porté depuis toujours dans la cité !
Homme le soleil est toujours derrière les nuages
Parfois, tu te trompes un peu d’étage
Alors tu participes à devenir l’otage
De ces blocs, de tes peines, alors nage, nage jusqu’à atteindre ta rive
N’est-elle pas merveilleuse ? Déshabillée des surplus inutiles, le nu des sens n’est pas sans importance. On avance et cette fois on a assez de nos sens pour croiser à cette distance les anges de notre enfance.
Comme c’est beau, comme c’est bon de vivre au vent de soi et dans la confiance de chacune de ses respirations, de ses inspirations !
MioModus.

Belle leçon merci:)
Vous avez tellement raison… un cri poétique
L essentiel la beauté la bonté
Votre ecrit tres joli. Merci.
Merci !