Je suis dans mon paradis, chaque rêve est permis. Je laisse ma barque au milieu du temps et je plonge au bois de l’astre. Le silence est alors à la cime de mon ciel – symphonie de l’âme, bain des sens…
Quelques pas à refaire ! Suivre les empreintes ou inverser l’axe de rotation de la terre ? Me suffit alors de changer d’hémisphère… L’ile du dédain pour destination, mais ici rien ne s’emboîte avec mes convictions…
Fermer les yeux et imaginer des destins bleus, des nuits de pleine lune, des femmes sublimes descendant des ciels et cherchant mes racines ! Au cœur de la nuit, toutes leurs lèvres m’embrassent, tous leurs bras m’enlacent. Je me perds dans le tourbillon de ces lames aimantes…
Comment à présent refaire surface ? Je me noie dans le divin, je suffoque de plaisir. Je me joue des corps, le vent se lève et scelle mon sort – il fait de moi le prisonnier de ce triangle de la chair !
Mon esprit chavire dans l’ère des jouissances absolues. Rien n’est plus interdit que l’interdit et je fais de cette nuit un incendie visible de la terre à la lune. De ce brasier d’éternité jaillira les plaisirs des libertés retrouvées.
MioModus.
poème plein d’espoirs!!!
Le rêve emprunte parfois les chemins interdits.. alors, continuons de marcher