dans une douceur
infinie, à l’aube
d’une éclaircie allant
au bout de la nuit.
Une femme belle
comme un rêve
sublime la ligne
des courbes divines
que je devine.
A l’allure d’une déesse,
de sa grâce,
jaillit l’envie
de planer au vent
de ses nuits.
De lui voler
un baiser,
de l’entendre
en pensées
me caresser.
Et dans la lueur
du jour,
derrière les mailles
fines de sa voilette,
elle me sourit.
MioModus.
Bonjour Mio,
Il faut demander au vent d’être plus frippon encore
pour dévoiler la belle et croiser ce regard
qui en dit long sur le mystère de ses prunelles
la grâce du mouvement qui l’accompagne
et ce doux baiser tamisé derrière la voilette.
Ah! soupir …
Bien à toi …
Le vent est mon ami, mon allié et cela depuis si longtemps…
« planer au vent de ses nuits »… magnifique !
superbe, Miomodus.
Toujours un bonheur de te lire.
bise.
Merci à toutes les deux d’apprécier ma poésie !
RENCONTRE JOLIE,
qui se poursuit bien après,
d’un désir renouvelé,
par un rendez vous rêvé….
Des sentiments si finement suggérés
Ces échanges dans l’invisibilité
Emeuvent et viennent troubler
Le lecteur émerveillé
De cette douce subtilité.
Merci Mio poète confirmé
De nous offrir ces vers à voyager
sur nos sensibilités partagées.