Hymne à la vie, à l’amour
Doux bruit de ta fantaisie
A la porte du jour
Ton corps tend vers l’envie
La lune sera ton guide
Le vent se charge de moi
Loin de nous le vide
Parfum des premiers émois
Il ressurgit d’un lointain passé
S’accrochant à notre peau
Comme le sel de la mer en été
Finissant d’achever le tableau
Au ruissellement des sens
A l’orée des courants
Au bout du bout de l’absence
Dans ce champ clairsemé d’aimants
Tu t’es perdue indéfiniment
Moi je vogue sur le vague à l’âme
Dans la fuite absolue du sentiment
Et je saute de dame en dame.
MioModus.
Partagez, tels des passeurs de livres, de mots:
WordPress:
J’aime chargement…
A propos MioModus
Je m’exprime par une écriture épurée avec des mots qui frappent au cœur du temps, au cœur de tout. Je vis à Paris dans un quartier familial et j’ai la chance de pouvoir m’éloigner de la capitale de temps en temps pour me ressourcer en Picardie qui est devenue une terre d’accueil. Mes mots peuvent ainsi sortir des lignes du temps et me sont soufflés par les arbres et par la beauté de la nature. La poésie me rapproche de l’essentiel : les rives de l’âme !
Cet article a été publié dans
Poésie. Ajoutez
ce permalien à vos favoris.
Une danse sur l’échiquier du temps, tant que le roi n’est pas échec et mat.
Et c’est tellement mieux ainsi.
Ton encre ne tarit pas. C’est donc que l’âme est toujours là.
Plus que jamais !
Après lecture, je me suis fait la réflexion qu’il existe bien quelque part un chemin où toute fleur peut librement s’épanouir et ça, les fleurs le savent : elles poussent toutes tournées vers la lumière du soleil.
Les fleurs, les femmes, la vie, à chacun la liberté de s’épanouir ou de s’éblouir à la lumière de l’astre qu’il choisit.
Cependant, j’aime assez votre réflexion.
Il y a le contre exemple végétal du hêtre qui normalement est un arbre d’ombre et d’humidité. Cependant les plus grands d’entre eux sont les seuls à être adapté à vivre exposés à la lumière du soleil. L’ombre n’est pas l’obscurité puisqu’elle n’existe pas sans lumière, elle en est même le fruit.
Bon Jour qui pêche,
Puisque Margot est ici, ma foi ne pas y venir bouleverserait la nature de la mécanique de l’ombre. La vache qui a plus d’égocentrisme dans l’habitude que de lumière dans la direction pousse trop sur le dominant. Doit en plus être affligée de macronisme. L’hêtre et le nez en, lui il aime les faines, ce qui ne m’empêche pas de préférer les femmes. En tout honneur et sans le dernier must du harcèlement. Merci donc de ta visite et à bientôt.
Margot, soyez la bienvenue ici. Je ne contredirais vos connaissances botaniques qui ont l’air d’être à la pointe des ciels.
La poésie, l’écriture sont des terres de lumière et de passions.
Je veille ici à les cultiver l’esprit enchanté.
De dame en dame pour damer le pion aux sentiments…. Oui, pourquoi pas, puisque qu’il est des sentiments qui s’imposent et ne s’invitent guère, il faut bien passer le temps jusque là…
Passer le temps et surtout vivre chaque instant comme s’il était le souffle du dernier moment.
La vie est un jeu, jouer aux dames et avoir les blancs pour parsemer l’instant du parfum de l’inconnu…
Merci pour votre visite en retour.
Sur l’échiquier des mots, j’aime beaucoup votre voyage entre possibles et senteurs inconnues.
Certains m’imaginent en botaniste mais je reste un grand voyageur !
Merci Sedna.
Dans un océan de mots en vagues d’émotions
Le poète voyage sur l’écume de l’instant
Saisissant çà et là
Les embruns de l’amour
Guettant le vol improbable d’une mouette
Pour partir vers des paradis
D’oubli et de liberté!
****
Superbe poème…j’aime beaucoup
……
J’aime cette idée du voyage sur l’écume de l’instant.
Merci Marie.
J en ferai presque une aquarelle de tes mots
Tellement vrais et un hymne à la liberté
Amitié
Peindre sa vie au gré du temps.
Ici, l’amitié est ainsi.
et je lis et je relis, c’est beau,
et je relis pour plus comprendre,
je ne serai jamais certaine de comprendre, de pouvoir lire.
belle journée puisque le jour neuf a déjà débuté.
Cela me fait plaisir de vous voir ici Annick !
Lisez, relisez ce texte est à vous…
Belle journée Annick.